Nos solutiOns
anti déchets
L'ensemble de nos solutions
Au stade de nos avancées techniques et technologiques actuelles, nous savons que le nettoyage des mers et des océans est une utopie. Partant de ce constat, et afin d’enrayer définitivement ce processus de contamination, nous avons décidé d’agir directement sur les canaux de dissémination de ces polluants, au niveau de l’interface terre-mer.
POURQUOI AGIR
COMPRENDRE LE PROCESSUS POLLUANT
Inversement aux idées reçues, la majorité des déchets qui contaminent nos mers et nos océans, trouvent leur origine à des centaines de kilomètres à l’intérieur des terres.
Jetés au sol en conséquence d’actes d’incivilité, ou abandonnés de façon purement accidentelle, ces déchets s’ils ne sont pas ramassés à temps, seront inexorablement dispersés par le vent et la pluie.
Présents par millions le long des trottoirs et des routes, ils finiront par se retrouver à l’intérieur de nos réseaux de collecte des eaux pluviales, pour atteindre en sortie des exutoires et des émissaires, les rivières, les lacs, les fleuves, et et à terme l’espace maritime.
Les déversoirs d’orage présents sur les réseaux d’assainissement unitaires, contribuent également à l’apport d’importantes quantités de déchets dans l’environnement.
Notre responsabilité est d’équiper chaque site à risque, afin de stopper la dispersion de ces polluants et ainsi empêcher leurs effets délétères sur les écosystèmes aquatiques et la santé humaine.
INTERCEPTER LES DÉCHETS : UNE URGENCE
La colonisation progressive des milieux naturels par les déchets d’origine humaine représente bien plus qu’une menace environnementale. A leur stade ultime de fragmentation en micro, puis en nanoparticules, ces milliards de polluants contaminent désormais la totalité de notre écosystème. Une pollution invisible à l’œil nu, qui n’épargne aucune zone géographique du monde y compris la banquise arctique.
Présents dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons, et dans la nourriture que nous consommons, il ne fait plus de doute que ces polluants viendront à terme altérer notre métabolisme et nos propres fonctions vitales.
Les plastiques contiennent en effet une multitudes d’additifs chimiques qui, présents en forte concentration dans les organismes vivants et dans le corps humain, sont susceptibles de se transformer en perturbateurs endocriniens et en cancérogènes (source IPEN International Pollutants Elimination Network- 14 décembre 2021).
1kg de glace Arctique contient jusqu’à 12000 particules de plastique
4 placentas humains sur 6 sont contaminés par des nano-plastiques
1 être humain ingurgite l’équivalent d’une carte de crédit par semaine
Des nano-plastiques ont été retrouvés dans le sang et les poumons humain
20 millions de tonnes de déchets sont déversés dans les mers chaque année (source IFREMER)
24,4 trillions de microdéchets sont en suspension dans l’Océan (source IFREMER)
98 % des déchets finissent par couler et ne peuvent donc plus être collectés
1 million d’oiseaux et plus de 100 000 mammifères marins en meurent chaque année